MARGUERITE DURAS – LES TROIS ÂGES – 3 SPECTACLES au Théatre de l'atelier
Il y'a 11 ans
Marguerite Duras : trois âges, trois visages, trois écritures différentes.De « Savannah Bay » à « Marguerite et le Président » en passant par «Le square », Marguerite Duras nous livre, à travers ces trois conversations singulières, son regard sur les choses de l’existence. Son intense acuité vient éclairer la vie intime et l’Histoire.
Le square
Il est question dans Le Square de solitude, d’exclusion, d’amour, de haine, de violence, de foi et de désespoir. Marguerite et Le Président
Avec le recul du temps, on retrouve dans les mots échangés entre Marguerite Duras et François Mitterrand lors d’entretiens enregistrés à l’Elysée, le charme et l’ironie d’une conversation politique telle qu’il n’en existe plus de nos jours.
Savannah Bay
L’enjeu primordial de Savannah Bay, c’est le rapprochement de deux femmes, leur reconnaissance mutuelle qui fait l’objet du jeu de rôle auquel elles se livrent…Dans un espace mental comme l’absence de mémoire, le temps arrêté, la solitude infinie.Peu à peu, au rythme de l’écriture, ce vide se remplit, se construisent l’amour et la reconnaissance entre une jeune femme inconnue et sa grand-mère au bord de l’abîme.. LE SQUARE – à 19h les mardis, jeudis, samedis MARGUERITE ET LE PRÉSIDENT – à 19h les mercredis et vendredis SAVANNAH BAY – à 21h du mardi au samedi Dimanche l’intégrale MARGUERITE ET LE PRÉSIDENT à 15h – LE SQUARE à 17h et SAVANNAH BAY à 19h
Mise en scène : Didier BEZACE
Avec : LE SQUARE : Clotilde MOLLET – Didier BEZACE – Gaspard de SEAUVE OU Denis POP
MARGUERITE ET LE PRESIDENT : Loredana SPAGNUOLO et Jean-Marie GALEY
SAVANNAH BAY : Emmanuelle RIVA et Anne CONSIGNY
Dans un espace mental comme l’absence de mémoire, le temps arrêté, la solitude infinie.
Peu à peu, au rythme de l’écriture, ce vide se remplit, se construisent l’amour et la reconnaissance entre une jeune femme inconnue et sa grand-mère au bord de l’abîme..
« Savannah Bay est l’histoire magnifique de la conquête d’une grand-mère par sa petite fille», écrit Laure Adler.